Lors de notre passage en Alsace (août 2008), nous avons visité la cathédrale de Strasbourg célèbre pour ses orgues et ses vitraux.
Nous sommes désolé, mais le site très utile sur l'Orgue alsacien de E. Eisenberg ayant été INACTIVE fin août 2017, une bonne partie des liens que nous utilisions pour l'Alsace avaient disparu ici, et dans l'ensemble de notre site. Ce site de M. Eisenberg est revenu vers 2018-19. Nous décidons donc de remettre les liens de valeur qu'il procure. Ainsi, pour la cathédrale de Strasbourg (grand orgue): voir ici. Et pour l'orgue de choeur: voir ici.
Cathédrale de Strasbourg, historique:
Bibliographie:
- Dictionnaire des cathédrales de France, par Michel Florisoone, Larousse, Paris, 1971,
- Vitraux de France, du Moyen-Âge à la Renaissance, Alsace, Lorraine, Franche-Comté, éd. SAEP, Colmar-Ingersheim, 1970,
- La Cathédrale de Strasbourg, chefs-d'oeuvre du vitrail européen, par Victor Beyer, Bibliothèque des Arts, Paris, 1970,
- Différents sites Internet (mentionnés ci-dessous, en fin de page). Et surtout les précieux liens du site Eisenberg.
Le premier édifice construit à partir de 1015 fut détruit par un incendie en 1176. Datent de cette époque, encore actuellement, une partie de la crypte, le gros oeuvre de l'abside, les fondations de la nef et des structures de la base de la façade. La reconstruction débuta vers 1180-1190 par l'abside et le transept dont les travaux durèrent une quarantaine d'années. La nef et les bas-côtés furent élevés entre 1240 et 1275. Les voûtes de la nef datent de 1275. La façade romane fut alors démolie. L'évêque Conrad de Lichtenberg posa la première pierre de la façade gothique en février 1276.
Plan de l'édifice: une nef flanquée de 2 bas-côtés avec deux grandes chapelles au niveau des deux dernières travées précédant de transept. Ce transept (saillant) est formé de 2 vaisseaux transversaux donnant sur l'abside romane, elle-même flanquée de deux chapelles rectangulaires. La nef, dont le plan suit les fondations romanes, est remarquablement large (30 m). La nef compte 7 travées et comporte 3 étages: les grandes arcades en cintre brisé de 5,90 m d'ouverture; au-dessus s'ouvre une claire-voie avec une suite d'arcades géminées et tréflées (triforium); au-dessus, on trouve les fenêtres hautes constituées, par travée, de 4 arcs en tiers-point surmontés de deux vitraux à quatre feuilles et d'une petite rose. Ces verrières imposantes, comme celles des bas-côtés constituent l'essentiel de l'exceptionnelle collection de vitraux de cette cathédrale (13ème siècle).
Le double transept recèle également des vitraux du 13ème siècle. Les deux chapelles accolées aux deux dernières travées de la nef (au nord comme au sud) sont un peu plus récentes: la chapelle du bas-coté nord date de 1495-1521 et celle du bas-côté sud (St-Catherine) date de 1341-1349 avec des voûtes du 16ème siècle.
La crypte comporte deux parties, l'une pré-romane et l'autre romane. L'ensemble souterrain mesure plus de 26 m de long. L'abside de la cathédrale, romane, s'intègre dans un chevet plat. Les bras du transept devaient, primitivement, être munis d'une charpente. On décida de les voûter, d'où la construction de 4 piliers pour soutenir ces voûtes, ce qui divise le transept en deux vaisseaux transversaux par rapport à la nef. Le pilier central du croisillon sud a été équipé de sculptures (pilier des Anges ou du Jugement dont les belles sculptures sont dues à l'école de Chartres).
La façade est un grand chef-d'oeuvre du style gothique rayonnant de la fin du 13ème siècle et du début du 14ème siècle. Le maître d'oeuvre de cette façade fut Maître Erwin. L'ensemble est caractérisé par un effet de verticalité exceptionnel, accentué par la haute et unique tour de la cathédrale. La flèche de cette tour culmine à 142 m et est l'oeuvre de Jean Hultz (terminée en 1439). Une statuaire, malheureusement bien endommagée à la Révolution, orne les portails de la façade. Des restaurations eurent lieu au 19ème siècle. Le portail sud du transept comporte aussi des oeuvres marquantes de la statuaire du milieu du 13ème siècle (tympan de la Mort de la Vierge, notamment). La grande rose de la façade mesure 14 m de diamètre. Elle est revêtue de vitraux représentant des épis de blé rayonnants, simplement.
Les vitraux: malgré les destructions dues au siège de 1870, la cathédrale de Strasbourg conserve un ensemble de vitraux d'une exceptionnelle richesse. Ces vitraux, datant de 1250-1270, ont été confectionnés dans des ateliers strasbourgeois avec un style bien spécifique, un peu cassant dans le trait et baptisé, par les spécialistes, de "Zackenstil". Beaucoup de statues et de vitraux ont été conservés au musée voisin, le Musée de l'Oeuvre Notre-Dame.
La cathédrale contient, dans le bras sud du transept, une horloge astronomique renommée dont la conception remonte entre 1550 et 1574 (par des mathématiciens avec réalisation par des horlogers suisses). Cette horloge complexe fut restaurée dans la première moitié du 19ème siècle. C'est aussi dans ce bras sud du transept que l'on relève des vitraux exceptionnels du 13ème siècle, notamment 2 rosaces et un grand St-Christophe (8 m de haut).
Histoire des Grandes Orgues de la nef:
Se référer, notamment, à la monographie du beau site sur les orgues en Alsace (site disparu à fin août 2017). Puis revenu en 2018-19: voir ici.
Voici un instrument impressionnant, placé en nid d'hirondelle, du côté nord, au niveau de la 2ème travée de la nef. L'oeil est immédiatement attiré par ce buffet d'orgue, authentique, de style gothique, avec un pendentif sculpté datant de 1385 (peintures, dorures, sculptures remarquables). Le haut du buffet, de plan semi-hexagonal, remonte au 15ème siècle, alors que les décors sculptés des côtés du buffet (appelés "jouées" en terminologie de l'orgue) datent du 18ème siècle.
Le Grand Orgue de la cathédrale possède une histoire complexe et touffue. Suivons la monographie de 20 pages du site alsacien de l'orgue (cliquer ici = attention: ne marchait plus depuis août 2017 puis revenu vers 2019) pour en tracer les étapes essentielles uniquement. On peut diviser l'histoire de cet instrument extraordinaire en 3 étapes:
- du Moyen-Âge à l'époque baroque,
- de l'orgue Silbermann à celui de Koulen,
- les deux instruments de l'époque moderne (Roethinger [1935], puis Kern, en 1981).
Un premier instrument est mentionné, dans cette immense cathédrale, vers 1260. Puis vint un orgue d'un facteur nommé Guncelin de Francfort (1292), orgue détruit dans un incendie. Puis vint un instrument d'un facteur dénommé Claus Karlen (ou Karlé), de Lohr (en Alsace) en 1327. On est pratiquement sûr que cet orgue est déjà érigé à l'emplacement actuel occupé de nos jours par l'orgue. La soufflerie (grands soufflets de forge) est placée dans les combles de la nef. On estime qu'un autre orgue pourrait avoir été installé dans le transept vers 1352-54. Un nouvel incendie accidentel ravage la toiture et l'orgue: un nouvel instrument est rapidement reconstruit au même endroit en 1385. C'est de cette époque que provient le fameux pendentif gothique situé sous le Positif.
Un nouvel orgue est construit et achevé en 1434 (par le facteur Michel Gerlach de Leipzig et un autre facteur, autrichien, Pierre Generis). Ces facteurs utilisèrent le buffet gothique présent. En 1491, le facteur Frédéric Krebs d'Ansbach (Bavière) construisit un nouvel orgue qui reçut un buffet modifié visible actuellement encore. Le buffet de l'orgue, dans son aspect actuel, date donc de cette fin du 15ème siècle.
Puis vint le facteur Hans Süss de Cologne. Il effectue des travaux sur l'orgue Krebs de 1507-1511. Il le dota, notamment, de vrais registres (jeux). La Réforme arrivant, en 1524, l'orgue devint muet jusqu'en 1542, date de travaux d'un facteur Schentzer de Stuttgart, puis en 1564, date de travaux d'un facteur Peistle de Fribourg-en-Brisgau.
Nouvelle intervention par le facteur Neuknecht de Ravensburg en 1609, mais le buffet est conservé. La composition de cet orgue de 1609 à Strasbourg est connue (voir ici ). Mais survint la Guerre de Trente Ans. On ne reparle de l'orgue de la cathédrale qu'entre 1624 et 1660, avec les travaux d'un facteur dénommé Mathias Tretzscher de Culmbach en Allemagne (région bavaroise). En 1681, Louis XIV rendit la cathédrale aux catholiques.
C'est alors qu'il faut parler d'André Silbermann, dès 1713. Consulté, il rédige un mémoire dans lequel il souhaite ne rien conserver de l'orgue de 1660 mais, au contraire, réaliser un grand instrument en ouest, sous la grande rosace. On lui demanda, toutefois, de conserver l'ancien buffet gothique, pour faire des économies. L'accord est signé en 1714 et l'orgue Silbermann est achevé en août 1716. Silbermann produisit un orgue de 39 registres, 3 claviers et pédalier. C'était le plus grand Silbermann d'Alsace. On supprima les volets du buffet (pour enlever du poids) et on les remplaça par les belles "jouées" sculptées visibles actuellement. La composition de cet orgue Silbermann est bien connue (voir ici = lien qui remarche depuis 2018-19).
Conrad Sauer (ancien ouvrier de J.-A. Silbermann) et son fils Théodore Sauer entretinrent l'orgue depuis 1796. En 1833, on confia des travaux pour compléter l'orgue Silbermann au facteur Georges Wegmann de Mackenheim (il compléta le clavier d'Echo, ajouta une Bombarde au Grand-Orgue, répara la soufflerie). Le Maître de Chapelle de l'époque, à la cathédrale, rêvait d'un Cavaillé-Coll (vers 1850). Mais il n'obtint pas les subsides. Alors vint la Guerre de 1870 et le siège de Strasbourg (reddition en septembre 1870). La cathédrale fut assez fortement touchée par les bombardements (coupole, verrières, ornements sculptés, orgue, intempéries...).
Les Frères Wetzel [lien remarche depuis 2018-19] effectuèrent des travaux d'entretien sur le Grand Orgue en 1873, et en 1876. A cette époque, Joseph Merklin place un bel orgue dans le choeur de la cathédrale (1878). On vit alors poindre des projets d'électrification du Grand Orgue. C'est alors que survient le facteur badois Heinrich Koulen, élève de Merklin. Il s'installe à Strasbourg. Il proposa, en 1880, de pneumatiser l'orgue Silbermann ! Une Commission est réunie en 1889 et étudie toutes les propositions (Walcker, Ladegast, Weigle, Sauer, Goll, Wetzel...). Le facteur Koulen l'emporta et son orgue fut achevé en 1897. Il n'eut pas l'autorisation de toucher au buffet, ni d'altérer le caractère Silbermann ! L'orgue Koulen comportait 42 jeux avec Positif, Grand-Orgue, Récit/Echo, Pédale. Il était, malgré tout, de caractère plutôt symphonique. La mécanique fragile de Koulen ruina sa réputation, alors que les Wegmann et Wetzel, auparavant, avaient respecté le matériel de l'ouvrage de Silbermann.
[Exemple d'un orgue Wetzel dans le village de Montfaucon, canton du Jura, Suisse: cliquer ici ].
Suite à des fissures apparues dans la tour et dans les voûtes, des travaux durent être entrepris. L'orgue fut démonté, avant la Première Guerre mondiale. Si la façade de l'orgue échappa à la réquisition allemande (étain), d'autres tuyaux en furent victimes.
Et voici l'orgue Roethinger de 1935: nous sommes alors au premier tiers du 20ème siècle, après la Première Guerre mondiale. On entend parler de Monuments Historiques et de reconstitution de l'orgue Silbermann. Une Commission est mise sur pied avec, à sa tête, Charles-Marie Widor. Avec un président, maître de l'orgue symphonique, il y avait un réel "danger" de voir arriver Cavaillé-Coll (à notre avis) ! Après une première sélection de facteurs, les 2 derniers furent C.-Coll et l'alsacien Roethinger. Ce fut le second qui l'emporta, mais, malheureusement, il ne maîtrisait pas bien la traction mécanique et encore moins une traction mécanique d'un orgue essentiellement développé en hauteur, avec une profondeur à disposition faible (maximum 1,50 m) et une accessibilité au Positif plutôt compliquée. Finalement, il fit une traction mécanique pour tous les niveaux à l'exception du Positif qui aurait une traction pneumatique ! Cette traction pneumatique du Positif manifesta des faiblesses assez rapidement, comme toutes les tractions pneumatiques en ce monde ! La composition de l'orgue Roethinger de 1935 (inauguré par Charles Tournemire) était pourtant assez séduisante, avec un ensemble de jeux bien typés dans le "néo-classique". Roethinger retoucha son orgue en 1959. Il ne contenait alors plus que 250 tuyaux de Silbermann. En 1974, la partie instrumentale est classée.
Il fallait revenir à un orgue entièrement à traction mécanique, sans obligatoirement revenir à la composition de l'orgue Silbermann dont il ne restait vraiment que peu de chose. Il fallait laisser libre cours aux idées et à la technique d'un grand facteur alsacien connaissant l' "esprit" Silbermann comme pratiquement personne d'autre: ce fut Alfred Kern qui donna à la cathédrale le meilleur de lui-même dans ce qui fut son dernier grand travail. Michel Chapuis, grand organiste, mit à sa disposition un projet esthétique cohérent. C'est ainsi qu'est né le magnifique instrument actuel de la cathédrale de Strasbourg, inauguré par G. Litaize, en 1981.
Bref historique de l'orgue de choeur:
Consulter la rubrique du site alsacien de l'orgue: cliquer ici .
Un premier orgue de choeur aurait été installé dans la cathédrale vers 1352. Il y resta probablement jusqu'en 1400. Le facteur Frédéric Krebs d'Ansbach, en même temps qu'il construisit l'orgue de nef (1491), posa un orgue dans le choeur en 1478. On en perd la trace à la Réforme. En 1660, Mathias Tretzscher de Culmbach construisit l'orgue de nef (en 1660) et réalisa aussi un petit orgue de choeur (qui fut déménagé au Temple-Neuf en 1681). Puis vint un orgue de Joseph Valtrin (ou Waltrin), facteur signalé dans ce lien, en 1712. Il fut réparé par le facteur G.-F. Merckerl en 1727 avant de disparaître, plus tard, à la Révolution. Entre la Révolution et 1878, il n'y eut, apparemment, plus d'orgue de choeur. Un orgue fut commandé à Martin Wetzel, puis la commande fut annulée, Wetzel pouvant alors placer son instrument à Walbourg. C'est alors que Joseph Merklin est consulté. Il fournit un devis en 1874. Commande est passée en 1875 et l'orgue de choeur J. Merklin est terminé en 1878. Il avait 2 claviers et un pédalier pour 23 jeux. La console était placée latéralement et la traction était mécanique avec aide d'une machine Barker.
Puis vinrent les Roethinger (Edmond-Alexandre d'abord, en 1909, puis Max en 1958): ils entretinrent et modifièrent l'orgue de choeur. En 1970, un projet de reconstruction est mis en route, avec passage à trois claviers. Ce sera l'orgue de J.G. Koenig en 1976, avec une console de face, en fenêtre. En 1989, on décida de revenir à l'orgue romantique avec les travaux commandés à la Maison alsacienne Daniel Kern. La transmission de cet orgue est maintenant mécanique.
Composition du Grand Orgue Kern (1981) de la cathédrale de Strasbourg: voir ici aussi.
Positif de dos (56 notes): Montre 8', Bourdon 8', Prestant 4', Flûte à cheminée 4', Nasard 2 2/3', Doublette 2', Tierce 1 3/5', Larigot 1 1/3', Fourniture 3r 1 1/3', Cymbale 3r 2/3', Trompette 8', Cromorne 8', Clairon 4'.
Grand-Orgue (56 notes): Bourdon 16', Montre 8', Prestant 4', Nasard 2 2/3', Quarte de Nasard 2', Tierce 1 3/5', Cornet 5r, Grande Fourniture 2r, Petite Fourniture 4r, Cymbale 3r, Première Trompette 8', Seconde Trompette 8', Voix humaine 8', Clairon 4'.
Récit (56 notes): Bourdon 8', Salicional 8', Prestant 4', Doublette 2', Sifflet 1', Cornet 3r, Cymbale 3r, Trompette 8', Voix humaine 8', Hautbois 4'.
Pédale (30 notes): Montre 16', Soubasse 16', Quinte 10 2/3', Flûte 8', Flûte 4', Contre-Basson 32', Bombarde 16', Trompette 8', Clairon 4'.
Accouplements: I/II, III/II, I/P, II/P, III/P. Le La est 440 Hz. Tempérament égal. Traction mécanique suspendue. Un Tremblant doux au Positif et un autre, aussi doux, pour le GO et le Récit.
Composition de l'orgue de choeur J. Merklin de la cathédrale (valable en 2003): voir ici aussi.
Grand-Orgue: Bourdon 16', Montre 8', Bourdon 8', Prestant 4', Doublette 2', Fourniture, Cymbale, Trompette 8'.
Positif intérieur: Principal 8', Flûte à cheminée 8', Salicional 8', Voix céleste 8', Prestant 4', Flûte à cheminée 4', Flageolet 2', Carillon 2r, Basson-Hautbois 8'.
Récit expressif: Flûte harmonique 8', Flûte 4', Trompette 8', Clairon 4', Tremblant.
Pédale: Soubasse 16', Octavbasse 8', Bombarde 16'.
Accouplements: II/I, I/P, II/P, III/P. Transmission mécanique. Sommiers à gravures. Expression par pédale expressive à la console.
Liens Internet à consulter:
- http://www.musiqueorguequebec.ca/orgues/france/strasbourgcnd.html (monographie en français, site canadien),
- http://www.musiqueorguequebec.ca/orgues/france/strasbourgcnd1.html (photos du lien ci-dessus),
- page Wikipedia sur la cathédrale: voir ici,
- https://www.cathedrale-strasbourg.fr/ (site de la cathédrale),
- https://prieurdidier.go.yo.fr/html/stras2.htm (autre site sur cette cathédrale),
- photos de la cathédrale (©): cliquer ici , photo du grand orgue: voir ici,
- effectuer aussi des recherches dans la base Palissy du Patrimoine de F: cliquer ici (recherche experte sous architecture, mobilier),
- facteurs Kern: http://kernpipeorgan.org/www.kernpipeorgan.com/index.html ,
- exemples de vitraux: voir ici, aussi ici . Photos agrandissables. Un album de vitraux sur cette cathédrale: voir ici, (attention: Copyright sur les clichés),
- étant donné l'importance de Roethinger en Alsace: voici un orgue de ce facteur en SUISSE à St-Imier: voir ici,
- une belle vue de l'orgue de la cathédrale de Strasbourg: voir ici,
- orgue Kern de la Chapelle St-Laurent: voir ici, et aussi orgue Kern de la crypte,
- grand orgue dans la base mondiale des Orgues: voir ici, et voir ici pour l'orgue de choeur.
- Inventaire des orgues de France: orgue de crypte, orgue de choeur, et orgue de nef.
Ci-dessus, en guise de vignette agrandissable de cette page, nous mettons un cliché personnel (août 2008) du Grand Orgue Kern de la cathédrale de Strasbourg. Cliquer sur l'image pour l'agrandir. Les autres photos personnelles figurent dans la rubrique "photos" attenante à cette page de texte.
Révision de cet article début décembre 2022.